Le conte du parfait
Le apathique de l’hiver pénétrait les murs épais du palais, s’insinuant dans les réduites interstices, mais il ne parvenait pas à rafraîchir la éclaircissement de quelques chandelles qui vacillaient à proximité du gel. La faible restait stable, le regard défini sur la surface lisse et riche du verre, recherchant à retrouver l’image